Le Diable ou la Belle
Cette « danse de la planche » , encore pratiquée de nos jours lors du Carnaval, est considérée par les deux universitaires ci dessous évoqués (J.Bonnet et C.O Carbonell), à l’égal du l’encadenat mais en plus « bouffon »…, « comme une danse scénique d’alliance, de rapprochement des couples », mais cette fois ci pour « juger la vertu des jeunes filles frivoles ou sages ». La posta est une « planche en bois, rectangulaire », aux dimensions de 1,5mXO,3Ocm, « arrondie aux deux bouts, peinte à l’extrémité supérieure : au recto d’une jeune et jolie jeune fille, au verso d’un diable laid et cornu ». Lire la suite